Allongée dans un lit,

 Je ne sais plus qui je suis,

 Les larmes coulant

 Les poignets en sang,

 Tout droit regardant,

 La vie s’éteignant,

 Une âme en peine,

 Et pas assez de haine,

 Pour pouvoir regretter,

 La vie qu’on va laisser,

 Une dernière pensée pour toi,

 Un dernier souffle puis plus de voix,

 Une larme s’estompe sur le drap,

 Je suis libre et mieux comme ça…

                                    camille

Commentaire de léa (10/04/2006 17:29) : et ui not' tite camille elle est trop forte!!!! bizous jvd

Commentaire de lovemanga (11/04/2006 18:26) : jolie et remplis de tristesse ce que tu as marqué... http://chou-love.vip-blog.com/

Commentaire de la fofolle (23/07/2006 23:23) : Il est magnifique ton poème, je l'adore, ton blog aussi est super, felicitations et bonne continuation, PS:ton monde est génial...

Commentaire de gilox( un gars de passage) (09/11/2006 22:02) :

Commentaire de Hervé (30/06/2007 12:40) : Qu'ils sont beaux ces mots... qu'ils sont vrais ! Que je te plains de les avoir écrit !

Commentaire de kia (02/10/2007 20:24) : c tro triste j'éspère que c mots n'es pas ton ressenti camille, sinon tu dois etre bien malheureuse

Commentaire de mélanie (13/02/2008 15:49) : slt c tres beau jai ete emus bravo moi aussi j'ecrit : pour voir va sur www.mely-melo92.skyblog.com voila bisous et oui t tro forte !!! http://www.mely-melo.skyblog.com

Commentaire de lili (20/02/2008 20:11) : c est tres jolie et rementike se ke ta marquer tes conne

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"C'est finit, j'en ai marre"
Voilà ce que tu m'as dit...
T'arrêtes notre histoire,
Tout ce qu'on a construit...
J'avais tant d'espoir
Qu'on serait unis pour la vie...
Mon coeur s'arrête,
Place au malheur...
Finalement je t'ai convaincu,
Juste une pause, une distance...
Il faut que l'on réflechisse,
Qu'on y pense...
Arrêter pour mieux recommencer?!?
Ou arrêter et t'oublier?!?
Tes sentiments ont changés
Mais les miens n'ont pas bougés...
Je veux pas te perdre...
Je suis en pleine dépression...
J'arrête pas de pleurer...
Et toutes ces questions...
Que j'ai à te poser...
T'es mon 1er grand Amour...
Je ne connaissait pas la déception...
Il faut avoir mal...
Pour mieux affronter la vie,
Mais moi je veux pas voire
La réalité en face,
Je veux pas me dire nous 2 c'est finit...
Même si je sais q'un jour
Il faudra qu'on efface
Les "je t'aime" dans nos coeur...

Un ange sur son nuage

 Regardant les misères de passage

 Ce penchas sur le visage d’une enfant

 Qui écrivais en chantant

 Elle étais dans un monde de  peine

 Dans un pays de haine

 Mais elle avais l’air heureuse

 Elle avais l’air tellement joyeuse

 Que rien, n’y personne

 Ne pourrais lui donner un air monotone

 Condamné à errer dans l'absurde des choses,
Il se vit se faner avant d'avoir vécu.
Sans avoir été roi, ni d'aucun coeur l'élu,
Il se vit se brûler en piétinant les rose.

Il se vit faner avant d'avoir vécu,
Comme une hésitation, juste avant que l'on ose.
Il se vit se brûler en piétinant les rose,
Les deux ailes arrachée comme un ange déchu.

 Comme une hésitation, juste avant que l'on ose,
Il aimerait renaître répandues,
Les deux ailes arrachée comme un ange déchu,
Il sait que seuls les morts et leur âmes se reposent.

 Il aimerait renaître des cendres répandues.
Condamné à erre dans l'absurde des choses,
Il sait que seuls les morts et leur âmes se reposent,
Sans avoir été roi, ni d'aucun coeur l'élu.

                                                           Anaël Martin

 

 

 

 

 

 

 

Cette couleur c’était la couleur de vos yeux
Et cet air délicat c ‘était votre air aussi
Mais les chemins qui vont d’hier à aujourd’hui
Vous les foulez toujours de vos jeunes chevaux
Qui n’en finissent d’un galop toujours proche
De me venir dessus.

 Jules Supervielle

Quand les yeux du désir, plus sévères qu’un juge, vous disent d’approcher,
Que l’âme demeure effrayée
Par le corps aveugle qui la repousse et s’en va tout seul
Hors de ses draps comme un frère somnambule,
Quand le sang coule plus sombre de ses secrètes montagnes ,
Que le corps jusqu’aux cheveux n’est qu’une grande main inhumaine
Tâtonnante, même en plein jour…
Mais il est un autre corps,
Voici l’autre somnambule,
Ce sont deux têtes qui bourdonnent maintenant et se rapprochent,
Des torses nus sans mémoire cherchent  maintenant et se rapprochent,
Et la muette de soie s »exprime par la plus grande douceur
Jusqu'au moment où les êtres
Sont déposés interdit sur des rivages différents.
Alors l’âme se retrouve dans les corps sans savoir comment
Et ils s’éloignent réconciliés, en se demandant des nouvelles.

                                      Jules Supervielle

Mon coeur ce serre
Ta voie me rassure
J’irais p’être  en enfer
Mais je sais que je serais en lui sûr
Par ce que tu ma promis
Que tu ce ré toujours là
Même si tu a des malheurs dans ta vie
Toujours là, au pré de moi…
Mais j’ai fait l’égoïste
Moi qui au pré de toi ne l’été pas
Toi tu n’aimer pas les égoïste
Mais je le suis a présent sans toi
Toi qui m’avais apprise
Apprise a aimer la vie
Tu est parti la première
J’ai voulu te rejoindre
Et moi qui t’avais juré
De ne jamais abandonné …    

                    Marion  

                                 mon-ptit-coeur

J'ai souvent voulu le faire
Mais j'avais trop peur...
J'ai préféré me taire...
Ca se guerrit,
Ce n'est q'une maladie....
C'est un geste de lacheté...
On veux fuire,
Ne plus souffrir...
S'enfermer dans sa bulle...
L'envie de mourrir
Car cette vie ne nous plait pas...
Mais avant tout je pense
A ma mère, à ma famille...
Comment réagiraient-ils?!?
Ils le supporteraient pas...
Si je faisait ca...
Alors j'écris mes idées,
Mes sentiments sur du papier,
Je vide mon esprit
Pour ne pas m'envoler...
Mon être se libére...
Et mes bras sont intactes...
Pourquoi se détruire
Si tant de personnes nous aime...
Faut arrêter les conneries
Et profiter enfin dla vie...

 (je ne connée pas la personne qui la écri)